Jennifer Garner, madame Ben Affleck pour l’état civil a tout juste le temps de terminer le tournage de la cinquième et derniere saison d’alias avant d’accoucher d’une petite fille, Violet, en décembre dernier. Du travail de professionnelle !
Commentaire du journaliste : C’est une Jennifer bien ronde qui me tend les bras au Four Seasons Hotel de Beverly Hills. Normal, l’actrice est enceinte. Pour l’une de ses dernière interviews avant son accouchement, elle porte fièrement un « charmant » pantalon de grossesse, ce qui n’enlève rien a son sex-appeal, bien au contraire ! L’espionne d’Alias, incroyablement plantureuse, semble enfin disposée à passer du gros calibre au hochet et à « bouder » les caméras et les micros. Une bien jolie maman !
Entrevue : Ta grossesse ne t’a pas trop gênée sur le tournage de alias ?
Jennifer Garner : Si, surtout pour placer mon flingue dans mon pantalon de maternité, avec des élastiques…Au mieux, il glissait dans ma culotte. C’est pour ca que je préfère porter des strings. Je n’ai pas ce genre de problème technique.
E : Les médecins ne t’ont pas conseillé d’éviter de faire des cascades ?
JG : Quand mon gynéco a su que j’avais été suspendue à trente mètres de hauteur dans un épisode, il est devenu fou ! après il m’a parlé des riques de fausse couche tous les jours !
E : Ca n’a pas été trop dur pour toi de prendre du poids ?
JG : Tu rigoles ? Je ne supportais plus la vision des filles sexy moulées dans leur jean taille basse ! Encore aujourd’hui, ca me file le bourdon, je me demande comment je vais retrouver la ligne. Mais ca fait partie du jeu.
E : J’imagines que tu as dû vivre un véritable enfer avec les paparazzis ces derniers temps ?
JG : Surtout qu’ils ont bien failli m’envoyer dans le décor sur l’autoroute ! Mettre deux vies en danger, celle du bébé et la mienne, je trouve cela inaccpetable, il faudrait vraimetn faire quelque chose !
E : Comment est née la love story Ben affleck-Jennifer Garner ?
JG : J’ai rencontré Ben sur le tournage de Pearl Harbor (elle y jouait le rôle d’une infirmière), et je l’ai retrouvé des années plus tard dans Daredevil, où nous étions très attirés l’un vers l’autre. Entre les deux nous ne nous sommes pas parlé.
E : Pourquoi ?
JG : Nous vivions nos vies ! Il n’était pas prêt à franchir le pas et moi non plus ! Puis avec Daredevil, l’amitié a fait place a l’amour…
E : Quelles sont vos ambitons pour votre enfant ?
JG : Nous voulons qu’il décroche une étoile sur le Walf of Fame avant sa majorité, qu’il soit diplômé de Harvard et qu’il se présente à l’élection présidentielle de 2032 ! (rires)
E : On chuchote que ton mari voudrait se lancer dans la politique…JG : Possible. Ben est un homme de convictions, d’idées et de projets pour les Etats-Unis. Et nous en avons bien besoin !
E : Il paraît que tu as recu une éducation tres stricte.
JG : C’est vrai. Ado j’étais super mal fagotée et je n’avais pas le droit de me maquiller.
E : Tu t’es bien rattrapée depuis !
JG : C’est vrai. Ma pauvre mère a failli mourir en me voyant en porte-jarretelles dans Alias ! Elle a frôlé les crise cardiaque !
E : J’imagines que tu as dû attendre des années avant de découvrir le monde ?
JG : Faux. On partait chaque année à l’étranger. A 12 ans, je suis même allée a Paris !
E : Vraiment ?
JG : Oui. Sauf que mon père était très regardant sur les dépenses. Il avait réservé des chambres dans un hotel bon marché de Pigalle. Il ignorait alors qu’il s’agissait d’un hôtel de passes…
E : Ca a du etre l’horreur pour lui ?
JG : Et pour nous aussi ! du coup, on s’est installés dans un tres bel hôtel. Cela dit, Paris reste à mes yeux la ville la plus exitante au monde.